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Rayne - Actions, obligations, dette privée… Ces Sicav qui permettent de doper les performances de son contrat d’assurance-vie

LE FIGARO

DÉCRYPTAGE - Les épargnants peuvent y loger différentes classes d’actifs, tout en profitant d’une fiscalité douce.


L’assurance-vie ne faillit pas à sa réputation de couteau suisse. Outre le sacro-saint fonds en euros, les épargnants peuvent y loger différentes classes d’actifs - action, obligations, dette privée, immobilier…, tout en profitant d’une fiscalité douce sur les plus-values (cotisations sociales à 17,2% + 7,5 % de forfait au bout de huit ans). 


Ces unités de compte (UC), potentiellement très rentables mais dont le capital n’est pas garanti, séduisent d’ailleurs de plus en plus. « L’année a été globalement très bonne sur cette poche, fait remarquer Cyrille Chartier-Kastler, fondateur du site spécialisé Good Value for Money, avec une collecte brute supérieure à l’an passé, et moins de retraits. » La collecte nette des supports en UC s’établit en novembre sur un an à + 32,5 milliards d’euros (+ 12 % par rapport à la même période l’an passé). Un record.



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